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RENCONTRE AVEC VALÉRIE PÉCRESSE

Entretien avec Valérie Pécresse, candidate à la régionale 2015, pour l’Ile-de-France, réalisé avec Valérie Montandon, pour le journal 12 n°2 (novembre 2014)
seingier-pecresse-montadonMatthieu Seingier : Bonjour madame le ministre, merci de nous consacrer un peu de votre temps. Cet entretien nous a paru utile car, en tant que chef de l’opposition au conseil régional, vous pouvez nous éclairer sur certaines actions de la Région qui ont un impact sur le 12e arrondissement. Par exemple la Région est en charge des Lycées et nous avons appris que les travaux des Lycées Arrago et Chennevières-Malézieux sont très en retard. Comment expliquez-vous cela ?

Valérie Pécresse : Depuis trop longtemps, la région Île-de-France souffre d’immobilisme. Alors que nous traversons une crise sans précédent, la région devrait être en première ligne sur le front de l’attractivité économique, de l’emploi, de la formation professionnelle ou encore de l’insertion des jeunes. Je suis atterrée de voir que la première région de France s’enlise et que la majorité
de gauche au Conseil régional n’a ni projets ni vision à proposer aux Franciliens.

La situation des lycées (une compétence obligatoire des régions) est révélatrice de la mauvaise gestion de la gauche au pouvoir à la région depuis plus de 16 ans. Ces cinq dernières années, la situation de la rénovation et de la construction des lycées s’est particulièrement aggravée : en 2010 un tiers des opérations de rénovation-construction était en retard, aujourd’hui ce ne sont deux
opérations sur trois qui sont en retard. En tout, dans toute l’Île-de-France, ce sont 109 chantiers de rénovation ou de construction qui sont en retard ou abandonnés. Cette gestion calamiteuse a un impact sur les familles et le 12e arrondissement n’est malheureusement pas épargné. Lire la suite

Expérimentation des « stationnements intelligents »

Article rédigé pour le journal 12 n°2 (novembre 2014)
Automobiliste cherchant désespérément une place rue Marsoulan

Automobiliste cherchant désespérément une place rue Marsoulan

Afin de réduire la saturation de la circulation automobile à Paris, nous avons promu, lors de la campagne municipale, des initiatives de « stationnement intelligent », alliant technologie et service public. En effet, des sociétés proposent déjà des applications pour téléphone permettant de trouver des places disponibles. Ce système fonctionne grâce à des capteurs qui ont été préalablement installés sur les espaces de stationnement.

Nous avons donc, logiquement, voté favorablement à la délibération proposant une expérimentation de ce système dans le 12e arrondissement, lors du Conseil du 15 septembre 2014, pour une durée d’un an, dans quelques rues du quartier de Bercy. Toutefois, cette expérience ne concerne que les emplacements dédiés : places réservées aux livraisons, aux personnes handicapées ou au taxi. Certes, l’amélioration du déplacement des personnes en situation de handicap et de la circulation à l’heure des livraisons est un progrès, mais nous regrettons que cette expérimentation ne concerne pas l’ensemble des usagers de la route.

Enfin, si cette expérimentation, entièrement financée par la société en charge de ce test, se révélait concluante, nous serons évidemment vigilants sur l’attribution des marchés publics pour éviter toute concession monopolistique du domaine public.

Pratique sportive le soir : des incertitudes en matière de sécurité et 1 seul établissement dans le 12e

Intervention lors du Conseil d’arrondissement du 6 octobre 2014 à propos d’une délibération relative à l’extension de l’amplitude horaire d’ouverture de certains équipements sportifs municipaux.

« Dans un premier temps, nous nous réjouissons également de cette délibération puisqu’elle correspond à l’une de nos propositions durant la campagne municipale, nommée pour l’occasion La révolution des horaires.

Toutefois, nous regrettons que seules 17 associations soient concernées. En effet, cette ouverture est assurée par les associations. Or, ces associations ont été sélectionnées : « sur la base d’un projet sportif pour  l’occupation de ces nouveaux créneaux. Une organisation solide et à partir d’une bonne connaissance des équipements en question. » Je reprends  les termes de l’exposé des motifs. Cela correspond à des associations locales. Est-ce que dans le 12e des associations sont concernées ? Si oui, lesquelles ? Lire la suite

Mise à la fourrière à Paris, le grand détournement

Mon intervention lors du Conseil d’arrondissement du 30 juin 2014 en soutien du vœu relatif à la mise en régie de l’enlèvement et à la mise en fourrière des véhicules.
Photo prise le 5 septembre 2014 illustrant la proximité étonnante entre agents verbalisateurs et grutiers

Photo prise le 5 septembre 2014 illustrant la proximité étonnante entre agents verbalisateurs et grutiers

Ce vœu a vocation à sanctionner le dispositif encadrant l’enlèvement et la mise en fourrière des véhicules qui n’a plus exclusivement pour but l’amélioration des conditions de circulation et de stationnement dans Paris. Sachant qu’avec la raréfaction des places de stationnement en surface (moins 35% en 10 ans !), nombre d’automobilistes sont contraints de stationner de manière illicite.

L’organisation est aujourd’hui la suivante. Les quelque 2.000 agents de surveillance de Paris (sous l’autorité de la Préfecture de Police, mais rémunérés par la Ville). Il s’agit des ASP. Ils sont chargés de verbaliser les véhicules en stationnement abusif[1], ou gênant[2], ou encore dangereux[3] ; Sachant qu’à l’amende de 35 € voire 135 € s’il y a un stationnement dans les couloirs de bus ou gênant, s’ajoutent 126 € de frais d’enlèvement et 10 € de frais de garde par jour pour.

Ce sont des tarifs exorbitants mais ce qui nous choque, c’est l’organisation actuelle du marché des enlèvements qui conduit à des dérives inquiétantes :

  • Les prestataires sont rémunérés à la tâche, par véhicule enlevé. Ceci les incite à effectuer des cadences importantes pour maximiser leur profit – première grave incompatibilité avec le but d’une police administrative.
  • Comme si cela ne suffisait pas, les chauffeurs sont également intéressés au nombre de voitures enlevées, par un système de primes qui leur permet bien souvent de doubler leur salaire. Je demande : où est la mission de service public dans un tel système de maximisation des profits individuels ?

Ces graves incompatibilités avec l’objet et la finalité de la sanction ne sont possibles que parce que la municipalité ferme les yeux sur certains agissements intolérables, trop souvent répétés pour ne pas penser qu’ils puissent être couverts. Il est fréquent de voir des dépanneuses d’enlèvement griller des feux rouges, rouler dans les couloirs de bus ou à vitesse excessive.

Nous ne pouvons plus tolérer ce genre d’abus généré par ce but de maximisation du profit de la part des grutiers. Comment tolérer le fait que les ASP précèdent les véhicules au moment de leur enlèvement. Sitôt verbalisé, le véhicule est enlevé. Même s’il n’existe pas de délai fixé par la loi entre la verbalisation et l’enlèvement, c’est un principe établi de notre droit que la sanction ne doive pas être automatique. Une tolérance pourrait être appliquée dans bien des cas. Elle ne l’est pas, et pour cause ! Puisque les ASP accompagnent l’enlèvement des véhicules. Il y a une énorme incohérence.

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Café politique du 12 mars 2014 : présentation projet Bercy-Charenton

Dernier clip de campagne de NKM


Dernier clip de campagne de NKM par NKM

Dimanche, mobilisez-vous pour que l’alternance devienne réalité.

photo1Ce 23 mars 2014, lors du premier tour de ces municipales, 62 % des exprimés ont rejeté la liste d’Anne Hidalgo dans le 12e arrondissement et ainsi son bilan, malgré une campagne facilitée par la machine de l’hôtel de Ville et certains médias complaisants.

 Pire, c’est même 78,6 % des inscrits sur les listes électorales n’ont pas choisi Anne Hidalgo. Elle n’arrive d’ailleurs qu’en seconde position sur l’ensemble des électeurs parisiens derrière Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET.

Dans le même temps, vous êtes plus d’un tiers à avoir offert vos scrutins à la liste menée par Valérie Montandon.

Nous remercions tous ceux d’entre vous qui ont ainsi marqué leur adhésion au projet porté par Valérie Montandon pour l’arrondissement. Nous  comptons à nouveau sur vous, dimanche prochain, pour le concrétiser.

 Et c’est à vous qui, peut-être, hésitez ou êtes déçus par le personnel politique ou qui vous sentez trahis par des discours non concrétisés, c’est à vous  que ce message s’adresse.

Nous voulons d’abord vous convaincre que Valérie Montandon s’est toujours présentée pour être au service de tous les habitants du 12e. Son dernier mandat et tout son parcours prouvent qu’’elle refuse le sectarisme et les politiques qui favoriseraient telle ou telle catégorie de la population.

Si elle a pu rassembler, dès le premier tour, une équipe unie,  renouvelée, volontaire, locale, c’est qu’elle s’engage à faire de la politique autrement.

 Nous habitons chacun, comme vous, différents quartiers de notre arrondissement que nous connaissons bien. Nous ne vivons pas de la politique et nous subissons, comme vous, les conséquences de la politique de la majorité sortante sur le logement, la propreté, la sécurité, la fiscalité.

C’est la raison pour laquelle nous prônons une nouvelle gestion saine, respectueuse et sans idéologie forcenée.

Au-delà d’une équipe, Valérie Montandon vous propose un projet ambitieux et réaliste que nous avons mûrement préparé. Et c’est sur ce projet que vous devez vous déterminer dimanche prochain.

Nous vous invitons à le comparer avec celui concocté, après une nuit de cuisine politicienne, par l’alliance de façade des socialistes, des verts et de l’extrême gauche qui depuis 13 ans se partagent le pouvoir.

Dimanche, mobilisez-vous pour que l’alternance devienne réalité.

Matthieu SEINGIER

Avec 33,34%, notre liste de rassemblement conduite par Valérie Montandon représente désormais un vrai espoir pour l’alternance dans le 12e. Les habitants de notre arrondissement devront se rendre encore plus nombreux dans leur bureau de vote dimanche prochain pour combler les méfaits de l’alliance de circonstance des socialo-verts-communistes qui ne partagent pas les mêmes idées sur tant de sujets comme le travail du dimanche, l’urbanisme…

Leur seul point commun : l’avidité du pouvoir !

Jordan JABLONKA

Le 12e avec Valérie Montandon

Le clip de campagne officiel de NKM


Clip de campagne officiel par NKM