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Élu local dans le 12e arrondissement de Paris, depuis mars 2014, j’ai pu mesurer la difficulté de diffuser des informations sur les activités, les prises de positions ou les propositions des membres de l’opposition.

Plus personnellement, je suis attaché à la diffusion du discours libéral-conservateur (appliqué à la vie locale).

Et puis, pourquoi ne pas vous livrer plus que cela, comme quelques réflexions, informations ou coups de cœur ?

Mon parcours en quelques lignes

Passionné depuis le plus jeune âge par l’Histoire et la chose publique, j’ai adhéré en 2002, à l’UMP lorsque ce parti politique s’appelait, pour la circonstance de la réélection de Jacques Chirac, « Union pour une majorité présidentielle ».

Devenu « Union pour un mouvement populaire », j’y ai milité avec l’enthousiasme des sabras, dans mon Nord natal. J’ai d’ailleurs été désigné responsable départemental adjoint des Jeunes populaires du Nord de 2003 à 2005.

En parallèle, je suivais des études de droit à Lille.

En 2006, je suis monté à la capitale (venant du Nord, descendre serait peut-être plus approprié mais, en amateur de Balzac, je me soumets à l’expression consacrée).

Après une expérience de 5 ans au sein du ministère de l’intérieur, à la direction générale des collectivités locales précisément, j’ai repris parallèlement mes études de droit pour embrasser, en 2012, la profession d’avocat. Je l’exerce, individuellement depuis 2015. Je suis inscrit au barreau de Paris. Mon activité dominante est le droit public.

Mon métier me permet, par l’intermédiaire de la variété des problèmes que je suis amené à traiter (concernant des usagers du service public, des agents publics ou des collectivités ou encore, depuis 2014, des professionnels de santé), d’appréhender de façon globale et concrète les pesanteurs structurelles de l’Administration.

Mon expérience m’a convaincu dans le constat d’une inertie de nature idéologique du Léviathan français.

En dépit du principe de neutralité censé régir le secteur public et du dévouement de la majorité des personnes travaillant pour l’intérêt général, il est un fait que de nombreux agents, singulièrement au plus haut niveau de l’administration, sont persuadés d’agir pour le bonheur des administrés en se substituant à eux et qu’ils se sentent ainsi autorisés à toujours davantage réglementer leurs actions.

Cette idéologie est fondamentalement contraire au caractère libre des Français, qui demandent de L’État qu’il les soutienne et les défende des injustices mais qu’il les laisse libres de créer, d’entreprendre, d’éduquer leurs enfants et de vivre comme ils l’entendent dans la société civile.

Mon militantisme est donc avant tout animé par ce refus d’un secteur public toujours plus protectionniste et liberticide au nom d’un idéal mal compris qui tend à infantiliser les citoyens et étouffer le génie français.

Arrivé dans le 12e arrondissement, j’ai immédiatement cherché à y militer. Contribuer à mettre fin à la politique pseudo égalitariste-progressiste, qui dans les faits ne cesse de diviser les Parisiens entre différentes catégories et abouti à trop d’autoritarisme, est un combat des plus légitimes.

Seulement je n’ai plus que déplorer les divisions incompréhensibles de la Droite locale. Elles n’ont eu comme effet que de transformer cet arrondissement stratégique pour la reprise de Paris en champ d’atterrissage pour parachutés, vus à la télé, dont les qualités personnelles (indéniables) ne pouvaient trouver écho aux besoins des habitants. La Droite s’en est donc temporairement éloignée.

Avec Valérie Montandon, le 8 mai 2014

Heureusement, prenant la suite du regretté Vincent Casa qui avait commencé le travail d’union de la Droite locale, Valérie Montandon a su rassembler des habitants du 12e arrondissement pour mener la liste, lors de la municipale de 2014, à laquelle j’ai eu l’honneur d’appartenir.

Malgré un score honorable au regard des résultats des élections précédentes, il manque encore du travail pour l’emporter et proposer un projet alternatif crédible de gestion de cet arrondissement si divers. C’est ce que l’équipe d’opposition effectuent assidûment, sans relais médiatique, hormis le Journal du 12 et certains blogues à l’instar de celui-ci.

D’octobre 2018 à 2022, j’ai été délégué LR du 12ème arrondissement.

En 2022, j’étais à nouveau suppléant de Valérie Montandon pour l’élection législative dans la 8ème circonscription, où nous sommes arrivés, au 1er tour, en 3e position, avec 11,30 %, derrière la député sortante (27,94) et la candidate de la NUPES (47,70), qui sera élue au 2nd tour avec 54,.

En 2023, j’ai fait le choix de quitter le parti Les Républicains (je ne me retrouvais plus dans son positionnement, depuis un certain temps déjà mais l’élection du nouveau président a achevé de me convaincre, outre le fait que mon parti ne m’a pas laissé l’occasion de mieux servir l’intérêt général).

Un blogue d’hier, aujourd’hui et de demain

Ce blogue, ouvert le 4 octobre 2014, est aussi l’occasion de publier d’anciens articles que j’ai pu commettre sur d’autres sites disparus comme ;

  • le feu blogue « www.12ensemble.com », que j’ai eu la joie d’animer avec une sympathique équipe d’habitants du 12e arrondissement de 2007 à 2013 ;
  • le site de campagne des municipales 2014 « www.jaimele12e.com » que j’ai animé et auquel j’ai massivement contribué de 2013 à 2014 ;
  • le site des campagnes législatives de Valérie Montandon, en 2017 et 2022 dont j’avais l’honneur d’être le suppléant : « www.valeriemontandon2017.fr« 
  • le site de la très particulière campagne des municipales 2020, auquel j’ai contribué, notamment la partie programmatique.

Bonne lecture.

Matthieu Seingier

12ensemble

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