Dans le cadre d’un article, intitulé la gauche part divisée dans le XIIe, paru ce 25 février, le quotidien Le Parisien a consacré une page complète à notre arrondissement, qualifié fort logiquement « d’une des clés du scrutin de mars pour conduire à la mairie de Paris« .
Il ressort du titre et de l’ensemble de cet article que les divisions des listes de gauche sont très profondes. On s’interroge difficilement sur quelle base ces listes vont s’unir au second tour et surtout pour mettre en œuvre quelle politique.
Le contraste est en effet saisissant avec l’unité, dès le premier tour, de la droite et du centre et le fait que, je cite, « la droite a compris la leçon » de l’échec des personnalités médiatiques, et mise sur une liste issue de la société civile plutôt que, comme à gauche, sur une « liste d’apparatchiks »…
La seconde chose, pas moins surprenante, est la mise en évidence de la totale mauvaise foi de la candidate socialiste qui se limite à reprendre le même argumentaire qu’en 2008 : « Ils n’ont rien à proposer en face ».
Seulement, cet article démontre que cette position de défense de la candidate socialiste (qui accessoirement était en charge de l’urbanisme et dont le bilan est catastrophique) ne tient pas une seule seconde.
Contre tout attente, la majorité sortante se refuse à sortir son bilan.
Contre tout attente, la majorité sortante se refuse à sortir son bilan.
Contre tout attente, la majorité sortante se refuse à sortir son bilan.