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Distribution du journal, place Daumesnil, le 24 juin 2016
Juin 24
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Distribution du journal, place Daumesnil, le 24 juin 2016
Juin 09
Communiqué de presse du groupe Les Républicains de Paris du 9 juin 2016
Depuis dix jours, le nettoiement des rues et le ramassage des ordures ménagères ne sont plus correctement assurés, particulièrement dans les arrondissements collectés en régie. Le blocage de l’usine d’Ivry et de certains garages de la régie municipale par une minorité d’agents, parfois extérieurs à la Ville de Paris, entravent le bon déroulement de l’entretien des rues.
A la veille du début de l’Euro 2016, les poubelles débordent dans de trop nombreux quartiers de Paris, les rats remontent dans les rues. Qui plus est, la décrue de la Seine va nécessiter d’importants travaux de déblaiement et de nettoyage sur les berges de Seine.
Cette situation, aux graves conséquences sanitaires et économique, démontre l’échec du « plan propreté » mis en œuvre récemment et prouve l’incapacité de la ville à gérer de telles situation de crise.
Aussi, nous demandons à la Maire de Paris de faire appel sans délai aux prestataires privés pour suppléer la défaillance de la régie. C’est la seule solution pour mettre fin rapidement à l’amoncellement de détritus qui pose des questions sanitaires majeures. La Maire de Paris doit également requérir au plus vite le concours de la force publique pour débloquer l’ensemble des sites, indispensable pour pouvoir évacuer les déchets.
Paris s’apprête à accueillir des millions de supporteurs et touristes ces prochaines semaines. Sans action résolue et responsable de la Maire de Paris, ils risquent de repartir avec une image bien ternie de la capitale.
Juin 03
Tout Parisien a en ce moment les yeux rivés sur son fleuve. La crue de la Seine a atteint sa côte de 5,5 mètre. Certes les « autorités » nous rassurent (ce qui a pour conséquences d’immédiatement nous angoisser, surtout que dans le même temps on peut apprendre que les barrages réservoirs en amont de Paris auraient atteint 90 % de leur remplissage).
Nous ne pouvons, néanmoins, qu’être spectateur et faire confiance à l’Administration et ses réflexes ou ses programmes (comme le plan Neptune qui peut être déclenché dès que le seuil des 6 mètres est atteint). Or le dernier bulletin de Vigicrues annonce qu’elle devrait se stabilisait à un peu plus de 6 mètres au cours de la nuit prochaine.
Heureusement, à l’heure où ces lignes sont écrites, il n’y a pas de drames humain à déplorer dans la capitale. Mais des questionnements sur ce fatalisme régnant sont légitimes. Notamment à l’écoute du Sénateur UDI et membre du Conseil de Paris, M. Pozzo Di Borgo, qui n’a eu de cesse d’alerter sur un certain manque de préparation en cas de crue de la Seine, comme l’illustre cet article du JDD pas plus vieux que mars 2016 : LIRE ICI.
Il dénonce des renoncements budgétaires, par M. Delanoë et Mme Hidalgo, dans le financement de système de casier de rétention permettant d’atténuer encore davantage les conséquences d’une crue massive :
Quand la ville de Paris s’est focalisée sur le financement de l’aménagement ludique des berges de Seine, elle a oublié de se préoccuper des caprices d’un fleuve. Non, la Seine n’a pas toujours été un long fleuve tranquille! La crue de 1910 est là pour le rappeler et ses conséquences aujourd’hui seraient autrement plus catastrophiques.
Juin 02
Création de logements sociaux de luxe, avenue du Coq à Paris (IX).
« Votre question ne vise qu’à attaquer une fois de plus Paris Habitat, avec des informations que vous êtes seuls à avoir ». Voilà, en substance (je mettrais en ligne la réponse quand le compte-rendu du dernier conseil me sera communiqué) ce que l’exécutif m’a répondu à la suite de la question que j’ai posé lors du dernier conseil du 30 mai 2016 (ci-après).
Effectivement, je détiens mes informations d’habitants que je n’ai pas à les désigner. Mes collègues élus Les Républicains disposons aussi de suffisamment d’éléments probants pour mettre au jour les mauvaises gestions de l’opérateur HLM dont le slogan est « mieux vivre ensemble à Paris« .
Et je ne savais pas encore que le magazine Marianne titrerait son numéro du 2 juin sur « le Nouveau scandale des HLM de Paris« , fruit d’une longue enquête sur les graves dysfonctionnements internes de Paris Habitat, le premier bailleur social de Paris (avec 111.000 logements) et d’Ile-de-France. Fausses factures, passe-droits, absence de contrôle sur les travaux : l’office public censé appliquer la politique de la mairie de Paris en matière de logements sociaux cumule les casseroles : LIRE LA PRESENTATION ICI.
Ma question est donc d’autant plus d’actualité. La voici :
Madame le maire,
L’ensemble dit « Erard Charenton » géré par Paris Habitat fait l’objet d’une réhabilitation (plus que nécessaire), qui bénéfice de financements de la Ville de Paris à hauteur de 5,1 millions d’euros, soit 40 % de son coût total.
Ce chantier suscite de nombreuses questions légitimes, notamment sur un défaut d’information des locataires sur le désamiantage ; sujet désormais porté vers d’autres instances que la nôtre.
Le désamiantage ne sera donc pas abordé dans la présente question mais il est évoqué car il a permis de révéler un autre problème, à savoir celui de l’exploitation de travailleurs étrangers, pour effectuer cette tâche dangereuse.
Juin 02
Communiqué de presse du groupe Les Républicains du 2 juin 2016.
Le groupe les républicains de paris fait part de son étonnement devant la proposition faite par l’exécutif parisien devant la presse de la création à Paris d’un « camp humanitaire de réfugiés aux normes de l’ONU » et dénonce l’instrumentalisation de la question des réfugiés par la maire de Paris, tant pour des raisons de politique interne à la gauche que pour servir de diversion aux révélations relatives à l’habillage des comptes de la ville.
Sur le fond, le groupe LR rappelle les positions qu’il a eu l’occasion d’exprimer à de multiples au sein du conseil de Paris :
Juin 01
Le passage du génie et à droite le foyer en cause
Le passage du génie, situé près de « Reuilly Diderot » comporte un foyer de travailleurs migrants où une salle de prière a été installée. Initialement créée pour les résidents, elle a été agrandie et ouverte à tous (via un référencement internet), au mépris des règles d’accueil du public, mettant clairement en danger la vie des participants et, dont la surfréquentation est source de nuisance.
J’ai déjà interpellé le conseil d’arrondissement le 30 novembre 2015 : lire mon intervention ici.
Entre temps, à part un peu de ménage dans la rue, rien n’a changé et les riverains sont toujours aussi gênés.
Voici l’échange lors du conseil d’arrondissement du 30 mai 2016 que je reproduis dans son intégralité car il s’agit d’un sujet sensible dès lors que, à chaque fois qu’un problème a un lien, même minime avec l’Islam, la majorité de gauche va tenter de faire passer les personnes le dénonçant comme intolérante. Mon intervention montre que la gauche travestit le réel en transformant un problème de voisinage en sujet interculturel. Dans ce blogue je vais plus loin. S’il s’agit d’un problème interculturel, ce que je réfute, mais comme il a été énoncé : quelle sont les cultures qui poseraient alors un problème d’incompatibilité ? Évidemment, jamais la gauche ne répondrait à cette question puisque sa vision du « vivreensemble » doit primer.
Avant de parler de vivreensemble, il est d’abord question de vivre sans trouble au voisinage. C’est le sujet des interventions qui suivent :
Juin 01
périmètre de la ZAC Bercy-Charenton (mai 2016) – plan annexé à la délibération
Voici mon intervention, ainsi que celle de Valérie Montandon, lors du Conseil d’arrondissement du 30 mai, sur la délibération relative à « l’Evolution des modalités de portage de l’aménagement du secteur Bercy-Charenton par extension du périmètre du projet de ZAC ».
Traduction : le périmètre prévu au sein de la futur ZAC censé régir le futur quartier de Bercy-Cahrenton (voir notre dossier) étant trop petit (nous n’avions pas arrêter de le clamer pendant la campagne et c’est la raison pour laquelle nous étions pour une couverture partielle des voies ferrées), la gauche avait décidé d’inclure dans la ZAC le secteur Léo Lagrange, initialement interdit à la construction et dédié au sport, pour essayer de donner un peu plus d’ampleur au projet de nouveau quartier.
Aujourd’hui, elle intègre dans la ZAC une partie du quartier dont l’aménagement devait être réservé à la société d’aménagement de la SNCF, la SNEF. Même si nous regrettons toujours un manque d’ambition certain, nous ne pouvons qu’être favorable à cette délibération qui rationalise l’aménagement global.
Voici donc notre position.
Mai 30
Comme il y a du public, je vais reposer le contexte de la question. Erard-Charenton est un ensemble social de 519 logements qui est géré par Paris Habitat, dont le slogan est « Vivre ensemble la ville », et qui met régulièrement en avant le côté social de son œuvre, mais qui a malheureusement employé des travailleurs détachés, c’est-à-dire des travailleurs étrangers qui sont soumis au régime étranger pour travailler en France, pour des travaux de réfection avec présence d’amiante. Normalement, il faut une formation spécifique pour l’amiante.
Ces travailleurs ont manifesté auprès des habitants pour dénoncer leurs conditions de travail. Il y a eu une mobilisation d’élus qui a pu générer un vœu qui a été adopté à l’unanimité du Conseil de Paris et qui a également généré des contrôles d’inspecteurs du travail qui ont permis de dénoncer un nombre important de manquements.
Cette question est aussi l’occasion de se féliciter de l’action d’élus locaux qui parfois peuvent permettre de mettre fin à des situations dramatiques. Dans le cadre de ce vœu qui avait été adopté en Conseil de Paris, nous avons souhaité connaître le taux des travailleurs détachés, mandatés par les bailleurs sociaux. Il n’y a toujours pas eu de réponse. Est-ce que le chantier d’Erard-Charenton est enfin conforme au droit du travail ?
Mai 30
Vous faites une fois de plus apparaître des besoins financiers sous prétexte d’augmentation du coût des fluides, ce que nous pouvons totalement comprendre, mais nous regrettons qu’aucun effort ne soit mis en avant sur d’autres postes qui pourraient faire l’objet d’économies à l’heure où il est demandé à tous les Français d’en faire.
Par cohérence avec notre position sur le budget primitif et sur le compte administratif sur l’état spécial, nous ne cautionnons pas votre gestion, notamment la gestion des dotations d’animation et d’investissement, comme j’ai pu l’expliquer lors du dernier Conseil.
Nous nous abstiendrons. Je précise que nous ne votons pas contre, mais que nous nous abstenons.
Pourquoi préciser cela ? Parce que, malheureusement, lors du dernier Conseil d’arrondissement, où j’ai pourtant été très clair sur notre position, celle-ci a été retraduite de manière caricaturale sous prétexte que nous ne sommes pas d’accord avec vous. Mme CHARNOZ, j’espère que, cette fois-ci, vous ne tomberez pas
dans cet écueil.
Mai 30
Lors du dernier Conseil d’arrondissement, je me suis opposé, avec Valérie Montandon, au Conseil d’arrondissement du 30 mai 2015, à une nouvelle délibération de préemption, dans le diffus, c’est à dire au sein de copropriétés.
Nous avons tendance à toujours voter les créations de logements sociaux sauf lorsque les programmes sont totalement déséquilibrés en termes de PLS, PLUS et PLAI, surtout lorsqu’il s’agit de préemption dans le diffus.
Pour plus de précisions, voir aussi :