Comme chaque année, j’étais évidemment présent, ce mercredi 11 novembre 2015, pour commémorer le 97e anniversaire de l’armistice de la première guerre mondiale, avec le Comité d’Entente des Associations d’Anciens Combattants, une petite partie de l’équipe municipale, dont l’intégralité des élus du groupe Républicains.
La matinée commence à la caserne de pompiers Chaligny pour un hommage aux soldats du feu morts en service et une Marseillaise [chantée sur un rythme martial particulièrement déstabilisant chez certains élus].
Les pompiers nous font ensuite l’honneur de nous recevoir, dans la grand’cour pour un petit déjeuner. Ce moment convivial fut notamment l’occasion de m’entretenir avec deux officiers de l’armée de terre, en mission « Sentinelle ».
Sans violer le devoir de réserve, ils me faisaient part des difficultés d’hébergement de leurs Hommes. J’ai ainsi appris, à mon grand étonnement, qu’à leur déploiement en janvier dernier, rien n’avait été initialement organisé pour l’hébergement des troupes (le fort de Vincennes étant déjà plein) et c’est à la suite d’une discussion informelle entre camarade de Saint-Cyr que le commandant de Chaligny expliqua à son ancien condisciple qu’il disposait d’un peu de place.