Extrait de l'infolettre des élus UMP du 12e arrondissement du 5 mai 2015
Isabelle TAVAUX
Franck MARGAIN
Matthieu SEINGIER
Corinne ATLAN TAPIERO
Mai 05
Extrait de l'infolettre des élus UMP du 12e arrondissement du 5 mai 2015
Avr 12
Une projection des résultats des dernières élections départementales en Ile-de-France ferait passer notre région à Droite :
Région | Gauche | Droite | Ext. droite |
---|---|---|---|
Ile-de-France | 37,87 | 40,56 | 21,06 |
Source: Francetv info Récupérez les données – Créé avec Datawrapper
Certes, une telle projection d’une élection uninominale (ou plutôt « binominale »), où Paris n’a pas voté de surcroît, reste un peu simpliste sur une élection proportionnelle à deux tours, qui se déroulera dans huit mois et dont la déterminante question des alliances n’est pas tranchée.
Une chose, en revanche, n’est plus discutable à l’UMP : Valérie Pécresse est la mieux placée pour mener ce combat et la plus compétente, compte tenu de son expérience, pour présider la région capitale.
Et la ferveur qui s’est dégagée de la réunion publique de lancement de la campagne, ce 11 avril dernier à Rosny-sous-Bois (93), à laquelle j’ai eu la joie de participer avec de nombreux adhérents du 12e arrondissement ainsi que les élus Valérie Montandon et Franck Margain, démontre à tous que l’UMP est massivement prête à soutenir Valérie Pécresse pour proposer un nouveau projet pour l’Ile-de-France.
Quelques vidéos de soutiens projetées lors de la réunion de lancement :
Mar 30
Vous pouvez le lire en ligne en cliquant sur sa une :
Mar 29
Extrait du journal du 12 :
Corinne Atlan Tapiero est intervenue sur la collecte du verre en demandant qu’il soit envisagé de rétribuer les usagers pour leur participation au tri sélectif par une baisse ou le gel de la Taxe d’Enlèvement des Ordures
Ménagères. Mais cela n’a pas trouvé d’échos…
Matthieu Seingier est intervenu sur le contrat Parisien de Prévention et de Sécurité 2015-2020 pour regretter que son premier axe ne soit plus la lutte contre la délinquance générale mais distingue la prévention de la sécurité, comme si elle était en elle-même un objectif à atteindre au lieu de s’attacher au maintien de l’ordre public, dans toutes ses composantes. Il a pu expliquer, en mentionnant la regrettable hausse durable de la délinquance à Paris depuis 2012, que ce plan démontre, à lui seul, et en dépit du discours martial du Premier ministre, l’angélisme coutumier qui sert de colonne vertébrale à la Gauche en matière de sécurité.
Il a aussi dénoncé la faiblesse du développement de vidéo-protection, outil précieux pour l’élucidation des faits de délinquance (10.000 interpellations ont été réalisées grâce à la vidéo-protection entre décembre 2011 et décembre 2014. Or, Paris ne dispose que de 1.100 caméras de voie publique pour 100 km).
Il a rappelé l’idée de créer d’un corps urbain de surveillance. Il a notamment souligné qu’aucune mesure n’est spécifiquement consacrée au terrorisme alors que Paris a connu une vague d’attentats et, enfin, que la question du financement des actions prévues par le contrat est totalement absente.
Franck Margain est intervenu afin de demander une amélioration de la propreté et de la sécurité aux alentours de la Place de la Bastille (voir l’article spécifique).
Mar 18
Lors du dernier conseil d’arrondissement, le 2 mars dernier, nous avons déposé un vœu portant notamment sur le nettoyage des marches de l’Opéra de la Bastille.
Précisément il a été demandé que la Mairie de Paris procède, dès le printemps 2015, aux mesures nécessaires pour la préservation du site notamment en :
- Procédant au nettoyage régulier des graffitis et tags sur les murs et marches de l’Opéra, en organisant la surveillance des marches de l’Opéra en dehors des soirées de représentation, par la présence accrue des Inspecteurs de la Propreté ;
- engageant une campagne de prévention massive, contre la pollution des lieux et par exemple par les correspondants de nuit, auprès des Parisiens afin de les sensibiliser à la protection du lieu et aux nuisances liées pour les riverains ;
- renforçant la présence des Inspecteurs de Sécurité pour constater et sanctionner les infractions.
Pour le rejeter la majorité a utilisé les arguments de la plus mauvaise foi. Au prétexte que mon collègue Franck Margain a employé les termes « sans-abris » et « personnes marginalisées », se contentant de décrire une réalité avec des mots très mesurées, Madame Pénélope KOMITES, adjoint au maire de Paris n’a pas hésité à lui prêter des intentions (forcément mauvaises) afin de discréditer la demande : Lire la suite
Mar 17
« Merci Madame le maire. Mes chers collègues. Quelques remarques et suggestions suite à la lecture de ce rapport. Elles seront nécessairement globales puisque ce contrat fait 168 pages, comme Madame ATLAN-TAPIERO le rappelait.
Tout d’abord, il faut saluer ce mode d’organisation « contractuelle » des rapports établis entre le maire de Paris, le préfet de police, le rectorat, l’institution judiciaire, l’Etat en général. Ce choix ne va pas de soi car l’action publique est exercée traditionnellement, surtout en matière régalienne, dans le cadre et selon les formes fixées par la loi. Or, comme l’a rappelé Monsieur. BONNET, la Ville de Paris ne dispose que de compétences résiduelles en matière de police. Sauf que Monsieur. BONNET ne rappelle pas que cela est justifié par l’histoire et notamment les dérives terroristes de la première Commune de Paris en 1793. Toutefois, ces compétences ont été renforcées par une loi du 5 mars 2007, ce qui permet au maire d’avoir quelques marges de manœuvre. J’y reviendrai en fin d’intervention.
En tout état de cause, ce contrat permet à l’exécutif et aux élus parisiens que nous sommes de pouvoir s’exprimer sur le sujet. Et je note dans le même esprit, ces deux points positifs :
Si je lis les indicateurs de l’Observatoire National de la Délinquance, cet outil paraît initialement efficace puisque lors de sa signature, le 3 mars 2009, et jusqu’en 2012, la délinquance générale dans la commune avait diminué.
Seulement, il y a un an, ce même Observatoire a publié les chiffres pour 2013, qui ont montré une terrible et inquiétante augmentation (notamment des cambriolages d’habitations principales : +36,6% (quatre fois plus que la moyenne nationale) les vols sans violence : +12 %, les vols avec violence : +5,5 %).
Le dernier conseil de sécurité et de prévention de la délinquance d’arrondissement (CSPDA) auquel je participais comme élu d’opposition a malheureusement permis d’apprendre que cette hausse générale ne s’est pas démentie en 2014 : +5,5 % sur Paris.
Et la courbe d’évolution de la délinquance à Paris semble durablement s’inscrire à la hausse[1] :
Certes le 12e, avec son 0,55 % d’augmentation, est plus calme que les autres arrondissements et, à ce titre, ne comporte pas de zones de sécurité prioritaires).
Pour revenir sur le CSPDA, un point avait positivement attiré mon attention à savoir le taux d’élucidation dans le 12e qui a progressé à 27,32 % (Il y a encore 2 auteurs d’infraction sur 3 qui ne sont pas identifiés). Mais, constatant cette hausse positive, j’avais interrogé sur ce point le commissaire qui avait confirmé sans détour les effets bénéfiques de la vidéo-protection. Et dire que c’est la seule mesure utile que vous n’avait cessé de critiquer durant la dernière campagne, préférant vous illusionner sur les effets de la prévention sociale…
Encore aujourd’hui, le contrat en cause reste faible sur les mesures de vidéoprotection à mettre en place.
Force est de constater que le contrat en débat reflète toujours cette idéologie laxiste qui donne la primauté à la prévention. L’intitulé du contrat comporte désormais cette mention : contrat parisien de prévention et de sécurité. Comme s’il n’allait pas de soi que la prévention, régime juridique de la police administrative, est un élément de la sécurité ! Lire la suite
Mar 06
Ce voeu a été rejeté par les élus de la majorité, ce qui parait tout à fait inacceptable. C’est pourquoi nous, élus du 12ème arrondissement, lançons aujourd’hui une pétition à l’attention d’Anne Hidalgo, Maire de Paris.
La place de la Bastille est un lieu d’attraction touristique de premier plan et le symbole d’une histoire de Paris, un lieu de culture qui rayonne sur un public très large de Franciliens et de touristes internationaux.
L’utilisation des transports en commun est encouragée par la Mairie et particulièrement à l’Opéra Bastille où la station de métro débouche sur les escaliers d’accès au bâtiment.
Or, depuis plusieurs années nous constatons une dégradation et un délabrement toujours plus violents :
Nous proposons à Madame la Maire de Paris Anne Hidalgo des mesures simples à mettre en place dès le printemps 2015 :
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Fév 27
Les élus UMP du XIIe arrondissement
ont le plaisir de vous convier à un café politique sur le thème de l’actualité internationale avec :
39 Allée Vivaldi 75012 Paris
Métro : Dugommier ; Montgallet ; Dausmesnil
Entrée libre
Fév 19
En décembre dernier, l’ensemble des élus du Groupe UMP s’était mobilisé pour dénoncer dans les Conseils d’arrondissement et au Conseil de Paris l’illégalité du nouveau barème des tarifs des cantines scolaires que souhaitait mettre en place Anne Hidalgo. [pullquote align= »left|center|right » textalign= »left|center|right » width= »30% »] C’est un revers pour la Maire de Paris qui avait préféré mépriser les mises en garde, nombreuses et répétées des élus du Groupe UMP.[/pullquote] En créant deux nouvelles tranches qui concernaient 30% des familles parisiennes, la ville voulait faire payer aux parents les repas de leurs enfants plus cher que ce qu’ils ne lui coûtaient. La Mairie cherchait donc, au risque d’être hors la loi, à faire des bénéfices sur le dos des familles parisiennes !
Face à cette injustice et au refus de l’exécutif de tenir compte du droit, Nathalie Kosciusko-Morizet, Présidente du Groupe UMP au Conseil de Paris a saisi le Préfet de la Région Ile-de-France afin qu’il contrôle la légalité des délibérations votées par la gauche parisienne.
Dans sa réponse, le Préfet Jean Daubigny affirme que « les délibérations incriminées ne sont pas conformes aux dispositions réglementaires » et qu’il « demande à la Maire de Paris, au titre du contrôle de légalité, de modifier les délibérations. »
C’est un revers pour la Maire de Paris qui avait préféré mépriser les mises en garde, nombreuses et répétées des élus du Groupe UMP.