Les elus LR de Paris aux côtés de François Fillon

© Guilène Desirée

A l’occasion d’une réunion exceptionnelle du groupe les Républicains au Conseil de Paris, l’ensemble des élus ont apporté ce matin leur soutien plein et entier à la candidature de François Fillon.

Ils ont exprimé leur désir d’unité et de mobilisation de l’ensemble des forces vives parisiennes alors que le moment que nous vivons est capital et inédit. Capital car l’élection présidentielle des 23 avril et 7 mai prochains doit être le moment de l’alternance. Inédit car jamais une campagne n’a été aussi violente à l’encontre d’un candidat.

Rassemblés, les élus les Républicains au Conseil de Paris réaffirment plus que jamais leur volonté de faire bloc derrière François Fillon, le seul à porter le projet de redressement fort et radical dont la France a besoin.

Anne Hidalgo condamnée pour diffamation : Ses méthodes révélées au grand jour

Communiqué de presse du groupe Les Républicains du 10 mars 2017 à la suite de la confirmation, par la cour d’appel de Paris, la veille, de la condamnation d’Anne Hidalgo pour avoir diffamé l’architecte Jean-François Cabestan :

Alors qu’au début de son mandat, Anne Hidalgo remaniait à sa main la commission du vieux Paris pour museler toute contestation sur ses projets urbanistiques patrimoniaux, elle n’avait pas hésité à mettre en cause l’intégrité d’un architecte pour justifier de son éviction.

En condamnant la Maire de Paris pour diffamation et en accentuant sa peine en appel, la justice vient de confirmer les méthodes sectaires d’Anne Hidalgo qui ne supporte décidément pas la contradiction qu’elle vienne des élus de l’opposition ou des Parisiens.

Dans une démocratie et singulièrement à Paris, il n’est pas supportable que la Maire cherche systématiquement à faire taire ses opposants alors qu’elle n’a de cesse de donner des leçons de morale à chacune de ses interventions publiques.

La base et les petits élus sont avec Fillon

Sur la place des Droits de l’homme, le 5 mars 2017, en soutien au programme de François Fillon et sa candidature, avec Marc Verret, responsable des jeunes de la 8e circonsription de Paris

Ce petit message a pour vocation de montrer que mon soutien au programme de François Fillon n’a pas varié malgré les circonstances et, par suite et loyauté, à sa personne.

J’étais donc au rassemblement impressionnant du Trocadéro, ce dimanche 5 mars.

J’ai également pu expliquer mes doutes sur la manière dont la procédure judiciaire est menée et les raisons profondes de ce soutien au journal La Tribune, paru ce matin, qui, au delà de la petite phrase retenue pour ma part, a bien retraduit la détermination des plus de 80.000 français présents (contenance de la place des Droits de l’homme et qui débordait sur les avenues) :

Lire l’intégralité de l’article ici.

Pose de la première pierre de la Sorbonne Picpus

Le chantier de la Sorbonne Picpus, le 24 février 2017, avec au premier plan, la tour de l’ONF

Pour ceux qui se demanderaient encore quel est ce trou béant derrière la tour singulière de l’ONF, il s’agit du futur site  Picpus de l’Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3.

L’université Sorbonne Nouvelle – Paris 3 est spécialisée dans l’enseignement et la recherche en arts, lettres, langues et sciences humaines et sociales. Elle compte aujourd’hui environ 18 000 étudiants. Son implantation principal est sur le site de Censier, datant des années 60, et aujourd’hui très vétuste.

L’Etat a donc profité de l’emprise relevant du ministère de l’Agriculture, située au 33 rue de Picpus pour l’affecter à l’université Sorbonne Nouvelle afin de reloger le centre Censier et la majorité des sites secondaires de l’université sur un campus entièrement neuf (en octobre 2013). C’est l’Etablissement public d’aménagement universitaire de la Région Ile-de-France (EPAURIF) qui a été mandaté pour le pilotage de ce projet appelé par l’administration « pôle Nation ». Personnellement, je préfère le nom de Sorbonne-Picpus. Un concours d’architecte a été lancé en mars 2014.

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Blocage des lycées : que font le Gouvernement et la Préfecture de Police ?

Communiqué de presse du groupe Les Républicains du 24 février 2017 sur le blocage des Lycées, qui prend de graves conséquences puisque le proviseur adjoint du Lycée Elisa Lemmonier a même été agressé, à coup d’extincteur, et condamne l’inertie du gouvernement Cazeneuve :

 

Ce matin encore, des lycées parisiens ont été bloqués par des jeunes cagoulés et masqués regroupés devant les établissements. Les lycéens, pris en otages, sont contraints de rester chez eux, dans la passivité la plus totale du gouvernement et de la Préfecture de Police.

Une nouvelle fois le Gouvernement n’a pas su empêcher la tenue d’une manifestation non autorisée réunissant un millier de personnes, pourtant annoncée sur les réseaux sociaux. Une nouvelle fois, la Préfecture de Police se révèle incapable d’assurer le maintien de l’ordre et d’empêcher les dégradations de biens publics. Une nouvelle fois, le Ministre de l’Intérieur privilégie l’excuse à la fermeté, échouant à assurer la sécurité des lycéens et du personnel éducatif.

Les élus du groupe les Républicains dénoncent avec la plus grande vigueur cette inaction et tiennent à apporter leur total soutien aux proviseurs blessés hier en marge des blocages d’une quinzaine d’établissements parisiens.

Anne Hidalgo nuit gravement à la santé des Parisiens

Communiqué de presse du groupe Les Républicains du 19 janvier 2017 sur les conséquences de la politique d’Anne Hidalgo en matière de pollution à Paris :

Présentée comme un instrument de lutte contre la pollution et d’améliorations de la santé des Parisiens, la fermeture de la voie sur berges produit les effets contraires. Le dernier rapport du comité d’évaluation régional  est sans appel. À titre d’exemple, les quais hauts, principale voie de report, subit une augmentation des émissions de polluants de l’ordre de 50 %. À cela, vient se rajouter le doublement du niveau de bruit la nuit qui constitue un trouble majeur pour les riverains.

Au début de la semaine, la Maire de Paris et son adjoint étaient pourtant une nouvelle fois dans le déni en certifiant que la fermeture des voies sur berge en septembre n’avait produit aucun impact, avançant même une baisse de 25 % de la pollution sur les quais bas. Si Madame Hidalgo ne fait que de rappeler à longueur d’interviews que « moins de voiture c’est moins de pollution », les chiffres lui démontrent que l’inverse est aussi vrai et que là où sa politique a augmenté le nombre de voitures, elle a généré plus de pollution.

Les élus du groupe les Républicains se réjouissent de la mission confiée à l’IAU pour proposer des aménagements alternatifs conciliant dynamisme économique et espaces de respiration comme le proposait le projet qu’ils avaient présenté en 2015 mais que la Maire de Paris n’avait même pas voulu étudier.

Contre l’instrumentalisation de la place de la Nation

Dans le cadre du Conseil d’arrondissement du 18 janvier 2017, je suis intervenu pour m’opposer à la délibération proposant l’apposition d’une plaque commémorant les évènements du 14 juillet 1953, place de la Nation, ainsi libellée :

A LA MÉMOIRE DES 7 MANIFESTANTS TUES
ET DES NOMBREUX BLESSES,
VICTIMES DE LA RÉPRESSION
DU 14 JUILLET 1953,
PLACE DE LA NATION.
6 MILITANTS INDÉPENDANTISTES ALGÉRIENS
DU MOUVEMENT POUR LE TRIOMPHE
DES LIBERTÉS DÉMOCRATIQUES,
ET UN MEMBRE DE LA CGT
ONT ÉTÉ TUÉS CE JOUR-LÀ.

Voici le texte engagé de mon intervention (seule la prononciation fait foi) :

Madame le maire, mes chers collègues,

Vous ne serez pas surpris. Nous voterons contre cette délibération uchronique.

Tout d’abord, nous serons cohérents avec la position du groupe Les Républicains, prise lors du conseil de Paris des 29 et 31 mars 2016, contre le vœu communiste à l’origine du texte que nous examinons aujourd’hui.

S’agissant de cohérence, je me permets de souligner qu’en concrétisant ce vœu communiste, en raison, j’imagine, d’un accord politicien dont vous avez le secret, votre majorité considère que le gouvernement incriminé par cette plaque était répressif mais il ne nomme pas ce gouvernement.

Et pour cause, lorsqu’on sait que ce gouvernement était de centre gauche ! Son ministre de l’intérieur, pour mémoire, était le radical-socialiste Léon Martinaud Deplat. François Mitterrand en était membre aussi. Il sera d’ailleurs le successeur du ministre Martinaud Deplat à la place Beauvau d’où il déclarera « l’Algérie c’est la France« .

Ainsi, en ne nommant pas l’auteur de « La Répression », terme figurant sur le projet de plaque en cause, c’est la France qui est implicitement désignée par ce terme, sur la place de la Nation ! Cette réécriture politique de l’histoire est grave et irresponsable.

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Non à la démolition de Léo Lagrange

Projet de restructuration du centre sportif Léo Lagrange exposé dans le dossier d’enquête publique de la ZAC de Bercy-Charenton

Dans le cadre du Conseil d’arrondissement du 18 janvier 2017, Valérie Montandon est intervenue pour critiquer la proposition de construction de nouveaux immeubles en lieu et place du centre sportif Léo Lagrange qui sera entièrement reconstruit, à grands frais.

En raison du manque d’ambition de la majorité municipale, le projet d’aménagement de Bercy-Charenton (voir notre dossier spécial) ne couvrira pas les voies ferrées. Pour tenter de néanmoins garder la face sur les annonces de campagne en termes de construction de logements (seuls 4.000 nouveaux logements seront finalement prévus dont 60 % seront dit sociaux), le périmètre initial de la ZAC de Bercy-Charenton a été élargi au centre sportif Léo-Lagrange.

Celui-ci sera entièrement détruit et la reconstruction des équipements sportifs, pourtant fonctionnels, sera financée par la seule ville de Paris pour 25 millions d’euros, selon le dossier d’enquête publique de la ZAC.

Au delà de l’absurdité financière, ce choix a suscité l‘incompréhension légitime des riverains, que nous rencontrons régulièrement, encore récemment, le 5 janvier 2017, au cours d’une réunion qui a rassemblé de nombreuses personnes et que plusieurs pétitions circulent dont celle en ligne a déjà réunie plus de 650 signataires (lien ici).

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Tour de 180 mètres à Bercy, quelle est la position de la majorité du 12e ?

Dans le cadre du conseil d’arrondissement du 18 janvier 2017, j’interroge le maire du 12e arrondissement sur la position de sa majorité sur le proposition de création d’une tour de 180 mètres à Bercy, dans le cadre du projet de la ZAC Bercy-Charenton :

Madame le maire,

Projection du bas de la tour de 180 mètres issue du dossier de l’enquête publique du projet de ZAC de Bercy-Charenton.

Le projet de création de la ZAC Bercy-Charenton a été soumis à l’enquête publique. Dans ce cadre, les habitants de notre arrondissement ont soulevé de nombreuses questions légitimes.

Certaines avaient déjà été posées lors des réunions publiques mais les réponses sont restées évasives ou n’étaient pas enveloppées du même caractère officiel que celles formulées devant notre assemblée.

Ainsi, la position de la majorité municipale du 12e arrondissement sur l’érection d’une tour de 180 mètres n’est pas claire.

En effet, lors de la réunion publique du 22 avril 2015, où j’étais présent, l’architecte Stephen Barrett, au nom du maître d’œuvre urbain du pré-projet a annoncé : « Au cœur du futur quartier, les immeubles les plus hauts peuvent atteindre une hauteur de 180 mètres. (…) ce territoire offre l’opportunité de proposer là un paysage urbain fort (…). Des immeubles de grande hauteur sont concentrés au cœur de Bercy-Charenton et contribuent à l’intensité urbaine du futur quartier. »

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Grand rassemblement du 29 janvier 2016